Dans le Haut-Katanga, la société civile exprime une inquiétude croissante face à la recrudescence des meurtres par balle, souvent imputables à des hommes en uniforme.
Selon Bertin Tshoz, représentant de la gouvernance sécuritaire et de la paix, au moins cinq personnes ont été tuées au cours de la dernière semaine, une situation qu’il qualifie de « gâchette facile ». Cette montée de la violence a plongé la population dans un climat de peur et d’insécurité.
Les témoignages de la population révèlent une intensification des agressions et une absence de réponses efficaces de la part des autorités. La société civile réclame des mesures concrètes pour protéger les citoyens, notamment une formation adéquate et un contrôle renforcé des forces de sécurité, afin d’éviter de nouveaux incidents tragiques. Bertin Tshoz appelle également à des enquêtes rigoureuses pour que justice soit rendue.
Face à cette situation préoccupante, la société civile se mobilise pour sensibiliser et documenter les abus.
La Rédaction.