La série noire continue pour le président de l’Union pour la nation congolaise (UNC).
Après avoir tenté, en vain, plus d’une fois d’obtenir la liberté provisoire au niveau de la Cour d’appel de la Gombe, Vital Kamerhe vient de connaître un autre revers au niveau de la Cour de cassation.
La Cour de Cassation vient de réserver ce mercredi 5 août une fin de non-recevoir à la demande de liberté sollicitée par le directeur de cabinet du chef de l’Etat condamné à 20 ans des travaux forcés pour détournement des fonds destinés à l’exécution du programme de 100 jours sur son volet construction des maisons préfabriquées.
Pour le moment, Vital Kamerhe reste dans sa cellule de la prison de Makala en attendant son procès en appel fixé au 7 août.