L’assaut perpétré le samedi 4 mai 2024 à Goma, dans la province du Nord-Kivu, a entraîné le décès d’au moins 14 individus et causé des blessures à 35 autres, principalement des femmes et des enfants.
Le gouverneur Peter Cirimwami a qualifié cet acte de crime de guerre, attribuant la responsabilité aux « terroristes » du Rwanda et à leurs alliés du M23. Les cibles de cette agression étaient des havres pour les personnes déplacées par la guerre, suscitant ainsi des préoccupations quant à la sécurité des civils dans la région.
Le gouverneur a assuré que des mesures étaient en cours pour faire face à cette crise sécuritaire, invitant la population à faire preuve de résilience et de résistance. Il a également pressé la communauté internationale à ne pas rester inactive face à cette violence gratuite. Ces attaques contre des civils innocents mettent en évidence la nécessité d’une action concertée au niveau international pour mettre fin à cette spirale de violence et assurer la sécurité des populations vulnérables dans la région du Nord-Kivu.
Les conséquences tragiques de cette offensive soulignent l’urgence d’une intervention internationale pour protéger les civils et mettre un terme aux violences dans la région. La communauté internationale doit appuyer les efforts des autorités locales pour garantir la sécurité des populations déplacées et traduire les responsables de ces crimes de guerre en justice.
La Rédaction.