Après avoir été lancées, le samedi 07 mars dernier par le gouverneur de la province du Katanga, Moïse Katumbi Chapwe en bâtiment du 30 juin, les journées commémoratives du mois dédié à la femme, continuent à se tenir avec des réjouissances populaires, des visites guidées dans des entreprises privées et publiques qu’effectuent les femmes chaque jour. D’autres organisées en groupe ont rendu des visites aux vieillards dans les bergeries et hospices. En même temps, celles habituées à l’échange des idées s’affairent à des discussions, aux débats, aux rencontres et matches de football, de rugby, de basketball et conférences. Ainsi, les centres et cercles récréatifs sont en ébullition ces derniers temps folie performance!
Comme on le voit, les femmes sont donc tout à fait décidées de se faire valoir et d’être effectivement les égales des hommes. Outre les médias où elles s’expriment continuellement pour se faire valoir, nombreuses sont celles qui louent et acclament l’initiative prise par le n°1 de la province qui a vivement soutenu l’auto-prise en charge et l’autosuffisance des femmes par des activités diverses capable de générer des revenus en faveur de la femme par la vie de microcrédits.
Quant aux autres filles-mères, jeunes femmes et autres désœuvrées, comme l’ont préconisé madame Kabera, chef de division du Genre, famille et enfant au Katanga, madame Mandaka de la société civile, leur scolarisation demeure indispensable car leur chance de rattrapage passe par là.
C’est ce que Mlle Laeticia Kalend Blimpata préconise aussi, elle qui a eu la chance d’être passée par les études supérieures où elle a acquis une certaine formation. Si ces compagnes de lutte peuvent aussi passer par la scolarisation, ce serait une bonne chose, dit-elle, tout en encourageant l’initiative prise par le gouverneur de province. C’est une bouée de sauvetage, termine-t-elle, tout en souhaitant que ce vœu se concrétise réellement.