L’évacuation médicale de Salomon Kalonda, conseiller spécial de Moïse Katumbi, soulève des inquiétudes sur la démocratie et l’état de droit en RDC, mettant en lumière les défis persistants liés aux droits de l’homme et à la justice dans le pays.
Salomon Kalonda, conseiller spécial de l’opposant Moïse Katumbi, a été évacué en urgence à Bruxelles pour des soins médicaux après avoir obtenu une liberté provisoire. Son évacuation, marquée par des images poignantes, montre le désarroi de Kalonda, pris en charge par des médecins urgentistes et transporté à l’hôpital Erasme pour des soins intensifs.
Cet événement survient après une longue détention à la prison militaire de Ndolo, où Kalonda était accusé de collusions avec le mouvement rebelle M23 et d’autres infractions. Son cas, contesté vivement par sa défense, suscite des interrogations sur la démocratie et l’état de droit en RDC, notamment concernant la liberté d’expression. L’avis médical de 19 médecins souligne l’urgence des soins pour Kalonda, mettant en lumière les préoccupations croissantes concernant les droits de l’homme et la justice dans le pays.
La Rédaction